Ebook : Apparition mariale à Baie-Comeau (80 p.)

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Apparition mariale à Baie-Comeau, Investigation RR3
Illustré, 80 p.
Version numérique Ebook.

par Yann Vadnais

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Apparition mariale à Baie-Comeau, Investigation RR3
Illustré, 80 p.
Version numérique Ebook.

par Yann Vadnais

 

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Un événement bien mystérieux à Baie-Comeau. Le 8 août 2011, vers minuit trente, deux jeunes gens, 20 et 22 ans, se baladaient vers le sanctuaire de la grotte de Sainte-Amélie pour admirer le paysage en hauteur. Leur attention fut rapidement captée par l’abondance de luminosité qui émanait du sanctuaire. En pénétrant dans les lieux saints et en montant peu à peu les escaliers, ils ressentirent « entrer dans un lieu irréel » et qu’une « tension dans l’air » donnait une ambiance « oppressante » à l’endroit. En ascendant l’escalier final, ils aperçurent quelque chose qui avait la silhouette d’une statue de Marie, mais qui « débordait de lumière et de couleurs » et qui avait des yeux bruns vivants : « J’ai croisé son regard », nous dit l’un deux…

Durant l’année 2014, le GARPAN a pu interroger les deux témoins, Ève et François, et valider de nombreux détails avec eux. À notre demande, ils ont exécuté des dessins pour nous représenter ce qu’ils ont vu et nous faire comprendre la scène. Nous croyons ce cas d’enquête suffisamment crédible et intriguant pour en avoir fait un rapport que nous remettront dans quelques jours aux autorités religieuses (aux chancelleries des archevêchés de Montréal et de Québec, et au diocèse de Baie-Comeau).

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Certains se demanderont pourquoi le GARPAN, un groupe d’investigation spécialisé en ufologie, s’occupe d’un tel cas d’apparition de Marie, à la frontière du religieux et de l’irrationnel. Sans nous fier aux dires des témoins (« nous avons vus la Vierge »), ni dédaigner l’apparence extérieure de cette histoire, nous avons considérer a priori ce cas comme une RR3, une « Rencontre rapprochée de 3ème type ». À savoir comme une présence ou une entitée, ou un phénomène, qui aurait pu prendre l’apparence souhaitée, par exemple : (1) s’inspirer du lieu (qui est un sanctuaire marial de l’Immaculée-Conception) et  de la statue du site, située seulement 5 mètres derrière l’ « apparition» ; (2) s’inspirer du psychisme des témoins… Nous ne nous sommes pas fixer l’objectif de résoudre ce cas en répondant à la question : « Était-ce vraiment la Vierge qui est apparue ? », qui est peut-être une question biaisée pour comprendre ce qui s’est exactement déroulé cette nuit fatidique du 7 au 8 août 2011. À vrai dire, nous laisserons plutôt les spécialistes en mariologie et les docteurs en théologie tenter de répondre à une telle authentification.

Le rapport d’investigation de 80 pages que nous avons composé servira d’ailleurs de matériau pour leurs analyses et conclusions.
Nous y avons rassemblé la quasi-intégralité des témoignages, ainsi que les dessins de témoins, lesimages de reconstitutions du site et de l’événement, et, enfin, nos analyses et interprétations.

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Pour susciter l’intérêt du public et dévoiler au moins quelques détails saillants de cet événement énigmatique d’une « apparition mariale » (ou d’un phénomène prenant cette apparence), nous vous proposons quelques passages des témoignages de François et Ève :

Transcription par Monique TROLLIET et Y.VADNAIS

Segments du témoignage de François

Témoin : En fait, l’apparition de la Vierge, on la voyait dès le début [depuis l’entrée du sanctuaire], parce qu’on voyait cette lumière-là, mais on pensait que c’était la statue, et c’est pour ça qu’on a continué de monter. Mais arrivés au milieu [de l’escalier], on a dit : « Mais pourquoi il y a tant de lumière ? C’est pas normal, qu’est-ce qui cloche? ». On commençait à se poser des questions.

Mon amie a dit : « Ça a l’air irréel tout ça… », c’était trop beau, trop magnifique. Il y avait tant de lumière, c’était très beau, l’air avait une épaisseur. Surtout rendu au deuxième palier, il y avait une sorte d’épaisseur de l’air, une tension.

Je me rappelle, rendu au milieu, j’ai dit : « C’est tellement beau, que ça me donne le goût de croire en Dieu », et puis c’est là, une sorte de masse encore plus forte.

On a eu très peur, et là, mon amie a dit : « Moi, je m’en vais ! », et elle est partie en courant.

E : Décris-nous ce qu’on voit dans ton dessin.

T : On voit une partie du cou. On voit une sorte de halo autour de la tête. On voit le voile qui descendait. On voit le vêtement bleu et blanc comme une toge : il y avait des plis, beaucoup de plis, c’était très grand, un vêtement très grand.

On voit les yeux. Les yeux étaient bruns.

Le vêtement était trop grand pour elle, il y avait beaucoup de plis.
Les lèvres un peu roses.
Les cheveux étaient un peu longs, brillants, et tout autour, une lumière qui venait d’elle. Il y avait beaucoup de lumière.

E : Quelle expression faciale avait-elle ?

T : Je ne sais pas si ce dessin la représente bien : l’expression était assez sévère, en même temps, un peu accueillante, un peu sévère, un peu comme si elle portait un jugement.
C’était placide, elle portait un jugement, mais, accueillante. C’était un peu effrayant, ça faisait peur : comme si elle nous attendait, la façon dont elle avait sa tête en oblique. Elle avait sa vue [son regard] sur l’escalier, donc, techniquement, elle avait la vue sur nous qui montions.
J’ai croisé son regard, c’était un peu  sévère, ça m’a effrayé. Ses yeux étaient bruns, très lumineux toujours, mais accueillants.

E : Comme tu as insisté beaucoup sur son visage et ses yeux, tu as fait un dessin de grande envergure. Décris-le-nous s’il te plait.

T : Il y a un petit halo de tracé, une sorte de cerceau.
Les cheveux blonds : ils étaient un peu plus bouclés en réalité.
Le visage un peu émacié.
La bouche close sans sourire.
Les yeux bruns. Bon ! ce n’est pas tout à fait exact, ils étaient plus sévères.
Le visage avait quelque chose d’un jugement : le regard très fort.
Ce qui faisait peur, c’était la sévérité de ses traits.

E : Tu lui donnais quel âge?

T : Jeune, oui, jeune. Aucune ride, son visage était de marbre. Ça avait l’air d’une peau autour de 20-25 ans. Aucune ride, le visage assez pâle, assez blanc, autour de 20 ans. Ce n’était pas une enfant, pas une adolescente. C’était vraiment une adulte, une jeune adulte : aucun trait de vieillesse, une belle jeunesse.

E : Ses cheveux allaient jusqu’où?

T : On les perdait un peu avec le voile. Le voile était dans le flou des cheveux, le voile était transparent, blanc. J’ai vu que les cheveux étaient blonds, un peu bouclés.

E : À t’entendre, ce qui t’a surtout marqué — parce que tu en as parlé à plusieurs reprises — ce sont ses yeux.

T : Oui. La façon que j’ai croisé son regard ; son regard posé sur moi…
J’ai croisé ses yeux, j’ai vu son regard, là, on peut dire qu’on s’est regardé…
Le décrire oui, mais l’oublier, non. C’était très fort. Ça en imposait…

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Segments du témoignage d’Ève

Témoin : Nous sommes entrés, j’ai senti que c’était irréel comme endroit. Je regardais vers le haut, et je me disais qu’il fallait qu’on monte, mon ami m’a aussi dit : « Ça a l’air irréel comme endroit ! ». J’ai donc voulu monter jusqu’en haut… J’ai vu la statue…. Je suis arrivée aux deux-trois premières marches…
On sentait que c’était vraiment oppressant. Mon ami a dit : « Ça me donne presque envie de croire en Dieu »… À ce moment-là, quelque chose s’est passé : je n’étais plus capable de rester dans cet endroit.

 Je suis partie en courant. François et moi avons couru jusqu’en bas. Il y avait un portail à l’entrée du parc : une fois passé le portail, c’était redevenu normal.
 Finalement, nous sommes retournés à la voiture [en courant]. (…)

E : Comment vous êtes-vous sentis par la suite ?

T : On ne comprenait pas trop ce qui s’était passé. On se sentait confus. On pensait — à la limite — qu’on avait juste imaginé quelque chose. On ne savait pas encore ce qui pouvait nous faire croire qu’il s’était vraiment passé quelque chose.
On y est retourné le lendemain, et on s’est rendu compte que ce n’était pas la même statue qu’on avait vu la veille. Elle n’était pas posée de la même façon. C’est vraiment à ce moment-là qu’on s’est rendu compte qu’il s’était passé quelque chose. On ne comprenait pas ce qui était arrivé.

E : C’est surtout le lendemain que vous l’avez réalisé ?

T : [Aussitôt après l’événement,] nous sommes retournés chez moi. On ne voyait pas grand chose sur les photos [du sanctuaire trouvées sur internet], mais on voyait [sur les photos trouvées] que la statue était blanche, alors que celle qu’on avait vu, était en couleur. On se disait qu’elle avait été repeinte pour l’été. Mais c’est surtout le lendemain, quand nous y sommes retournés, qu’on a vu que la statue était blanche et pas du tout en couleur. On s’est vraiment rendu compte que ce qui s’était passé n’était pas normal.

E : Elle n’était pas non plus à la même place ?

T : Elle était plus avancée ; en fait, on la voyait juste en haut des escaliers.

Elle avait le visage de la couleur de la peau, les cheveux blonds un peu bouclés.
Elle avait un voile et des vêtements : c’était bleu et rose.
Elle avait la tête un peu penchée et les mains jointes ensembles, un petit peu sur le côté aussi [en oblique]. (…)

E : Tu as vu une expression sur son visage ?

T : Elle avait l’air sereine, je dirais un peu comme les statues en général. (…)

E : Est-ce qu’elle regardait vers vous ?

T : Je ne me souviens pas.

E : As-tu vu ses yeux ?

T : Oui, je me souviens qu’elle avait les yeux bruns.

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